En ce jour, c’est comme si le temps de Dublin voulait me donner un aperçu de ce que j’allais devoir affronter ici : un ciel bleu infini.

Samedi j’atterrissais de Nantes ou je finissais une journée absolument divine, pour me retrouver seul Dimanche sous un ciel irlandais aussi sec que les chutes du Niagara et lundi … comme pour narguer tous les travailleur, un temps sans égal allait m’accompagner jusque Carthage.

Parlons de la partie galère pour y aller :
– un réveil a 6h du mat pour aller manger et dire bonjour a HP (briefing et redécouverte du bureau après 15 jours de vacances en France)
– 8h30 recherche du passeport a l’ambassade de France (j’entre a 9h12 après avoir insisté sur la sonnette toutes les 4 minutes depuis 8h45) la une femme m’y précédait car elle devait prendre le même vol que moi a 12h mais la pauvre s’était faite voler son sac a main …
– sortie a 9h20, vite allons prendre l’avion … enfin vite … la ville était entièrement bloqué j’ai du marcher avec les sacs jusque O’Connell Street pour prendre la navette soit plus de 40 minutes a avancer a pieds plus vite que les véhicules motorisés et dépasser les bus aéroportuaires, évidement tous pleins.

J’arrive finalement a l’aéroport dégoulinant et parfumé des aisselles, sous ce soleil plombant et, pour info je n’ai pas vu cette utilisatrice de l’ambassade.

Pour le reste : un vol sans encombre, avec un personnel magnifique et super serviable.

 

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